Ce récit est terminé. Prière de
ne plus le modifier
Ulysse est un
journaliste de terrain. Il couvre la
guerre de Troie pour le journal Hermès. Ses reportages
sont précieux, car peu d'informations circulent sur ce conflit. Il a conscience
que ce travail est dangereux, car ses contacts sur place ne sont pas fiables.
Rester anonyme et ne pas éveiller les soupçons, pour continuer à envoyer des
informations par téléphone à sa rédaction sont ses principales préoccupations.
Alors, lorsque le rédacteur en chef d'Hermès lui fait savoir que son téléphone a un virus il réalise que sa vie est
en danger. Evidemment, il doit
se débrouiller tout seul et son dernier recours est de se rendre dans une
boutique de téléphonie du centre-ville. C'est risqué, il le sait, mais c'est
là que travaille Polyphème, ce copain informaticien qui va
l'aider à réparer son téléphone.
Ulysse ne le
sait pas, c'est un ennemi
juré, un ennemi pire que tous les virus, un ennemi qu'on élimine difficilement. La raison de cette difficulté est relativement simple, cet
ennemi est également son ami ..., et cet individu si dangereux dont on
entend parler tous les
jours et dont on lit les messages sur Facebook, qu'il
signe par « copain qui
s’y connaît », ce copain, c'est son copain informaticien. C'est à lui que l'on demande conseil quand on a
tout essayé, mais la situation est toujours pire après son intervention. Comment Ulysse va-t-il
faire?
Il lui demande
:
-Comment je fais maintenant mon pote,
tu me donnes un
téléphone ?
-Oui, 2
secondes, je vais te le préparer, lui répond-il d'un
air rassurant !
- je
te le donne pas ce téléphone tu
devras me payer, dit Polyphème en
revenant.
Ulysse accepte, en disant qu'il payera plus tard Alors l'informaticien lui donne le téléphone...
En
sortant de la boutique, il pense à sa famille, sa femme Pénélope, son
fils Télémaque...
Soudain son téléphone vibre. Il le porte à l'oreille: C'est le copain qui s'y
connaît.
-Salut Ulysse ça va?
-Oui ça va très bien, je pète la forme!
-Ça te dirait de faire une boum chez moi? Tu vas t'éclater...
(...) Deux jours plus tard.
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